Le poste de président de région est une aubaine pour les élus. En effet, il donne la possibilité de faire parler des tremblements significatifs. Même s’il s’agit d’un poste représentant toutes sortes d’activités, il est important de savoir que ce genre de privilège peut facilement être la source de problème que l’on connait tellement avec une simple activé. Parmi cela, il y a notamment celles qui concernent les activités parlementaires, ministérielles ou encore exécutives.
Le président de région et les autres activités parlementaires
Dans le cas des activités parlementaires, c’est la loi de 2014 qui est à l’origine de cette situation. Pour les présidents de régions ayant une double fonction avant cette date, il n’y avait pas encore de choix à faire. Une fois élu président de région, il était contraint de démissionner à son ancien poste. Bien sûr, il leur est toujours possible de décider s’il est nécessaire de garder les deux fonctions ou de statuer sur quelle fonction choisir.
Exercer une activité ministérielle et autre en se basant sur les activités exécutives
Pour ce qui est de l’activité ministérielle, elle est également incompatible par rapport aux fonctions qu’incombe le statut de président de région. Le problème se situe comme pour les autres au niveau du fait de cumuler les activités du président de région. C’est selon l’article L 4133-3 que les fonctions du président par rapport aux devoirs du président sont mises en évidence. En effet, ce décret est un moyen de respecter le fait que les présidents n’ont pas le droit d’occuper des mandats multiples et des devoirs qui vont avec. Dans le cas où l’intérêt pour les exécutifs est plus important que les autres tâches, il lui est possible de déposer sa démission et de passer dans ce secteur de travail pour être plus efficace tout en devenant conseiller ou autre personne pouvant aider dans la tâche du président.