La France attire de nombreux investisseurs du monde entier. C’est d’ailleurs non seulement une destination de vacances, mais aussi comme un endroit où vivre et travailler. Mais cela fait-il un bon emplacement pour votre entreprise ? Etant donné que la bureaucratie est aussi française que la bouillabaisse, la sagesse conventionnelle dit que non, mais le climat des entrepreneurs s’est rapidement amélioré ces dernières années.
Est-il intéressant d’investir en France ?
L’intervention excessive de l’Etat signifie que la France a longtemps été ridiculisée en tant que pays où la libre entreprise allait mourir. Cependant, il est devenu de plus en plus hospitalier pour les entrepreneurs grâce à une série de réformes du cadre réglementaire. La troisième économie de l’UE est également devenue plus agile en réduisant les coûts de transport, de salaires et de carburant. Le président Macron s’est engagé à faire d la France un pays pour les start-ups.
Voici les différentes démarches à suivre :
Désormais, les taxes imposées aux petites entreprises sont non seulement favorables par rapport à d’autres pays, mais il existe également de généreux systèmes de crédits d’impôt et de subventions publiques. Plus de capital-risque, en particulier dans la technologie, est également disponible. Le système de création d’entreprise n’est pas aussi bureaucratique que vous le craignez.
Les différents types de statuts
Quel type de structure d’entreprise conviendra à votre nouvelle société ? Si vous êtes un entrepreneur indépendant, le processus est relativement simple, car en tant que micro-entreprise, vous ne payez que l’impôt sur le revenu personnel.
Par ailleurs, si vous voulez créer une entreprise plus grande, différents types de société ont de l’impôt différent et les exigences légales. Vous pouvez choisir le statut de société à responsabilité limitée ou SARL. Il y a aussi la société anonyme ainsi que la société par actions simplifiée. Si vous ne savez pas quel type de structure choisir, vous pouvez parfaitement demander l’aide d’un comptable ou d’un conseiller juridique.