Plus de 40 000 nouvelles entreprises sont créées chaque année en Suisse. Pourquoi la destination alpine est-elle un endroit très populaire pour créer une entreprise ? Voici les raisons qui rendent la Suisse attrayante pour les entrepreneurs et les investisseurs.
Voici quelques conseils pour lancer votre entreprise en Suisse :
L’innovation est la clé
Bien que petit pays, la Suisse a été maintes fois reconnue comme l’un des pays les plus innovants au monde. Selon un indice de l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), la nation alpine est en tête du monde en matière d’innovation. En 2017, la Suisse se classait au premier rang des innovations pour la septième année consécutive. La Suisse a obtenu un score particulièrement élevé dans la catégorie «Connaissances et technologies», le ratio de demandes de brevet européen par rapport à la population étant le plus élevé.
Réseau densément concentré de sociétés et de banques
Les jeunes entrepreneurs doivent créer un réseau dans leur secteur. La Suisse est un lieu idéal pour rencontrer des investisseurs, des entreprises ou des mentors potentiels. Outre de nombreuses banques, la Suisse compte pas moins de quinze entreprises Fortune 500 dans de nombreux secteurs tels que les services financiers, les assurances, les produits de base, l’alimentation, les boissons et les produits pharmaceutiques. Des centaines d’autres sociétés internationales ont établi leur siège européen et EMEA dans des villes suisses. Google et son plus grand bureau en dehors de Mountain View à Zurich et Adobe avec son centre mondial de recherche et de développement pour le cloud marketing à Bâle en sont des exemples marquants.
Stabilité politique
Alors que la situation politique dans les pays voisins de la Suisse a radicalement changé au cours des derniers mois. La corruption n’empêche pas les affaires en Suisse. Le portail GAN du commerce et de la lutte contre la corruption indique que les interactions avec les fonctionnaires sont transparentes et que la corruption n’est pas courante. La loi suisse incrimine la corruption active et passive, tandis que la corruption dans le secteur privé est érigée en infraction en vertu de la loi sur la concurrence déloyale. L’administration fiscale suisse n’est pas touchée par la corruption.