Pour différentes raisons, un associé peut décider de se retirer d’une entreprise. Il est la plupart du temps dû à des mésententes entre eux ou encore pour d’autres raisons. Toutefois, il est important de prendre en compte que le droit de retrait est régi par certains règlements. Voici donc tout ce qu’il faut savoir sur les moyens de cesser d’être associé au sein d’une entreprise.
Dans le cas d’une SCI en liquidation
Dans le cas d’une SCI, il n’est pas envisageable pour les associés de se retirer. Même si le fait que la distance géographique soit la principale raison pour laquelle les associés décident de se défaire de leurs actions dans une entreprise, il y a certains cas comme celle-ci qui font qu’ils ne le peuvent pas. Surtout dans le cas où la SCI est en liquidation, il est quasiment impossible pour ces derniers d’obtenir l’accord d’un juge pour un retrait au sein de la société.
Dans le cas d’une SCP
Pour les associés dans une SCP par contre, user de son droit de retrait est tout à fait favorable. Toutefois, cela engage certaines conséquences qui ne sont pas toujours bénéfiques pour ces derniers. Pour ne citer que quelques exemples, il y a le fait que cela peut entrainer des impacts sur le plan financier. En effet, l’associé est tenu de prendre en compte les dividendes, mais aussi les charges de l’entreprise. Pour ce qui est du dividende, elle est valable dans la mesure où l’associé n’a pas encore touché la totalité de ses parts dans l’entreprise. Quant aux charges dont elle doit encore prendre en compte, il s’agit d’une obligation qu’il ne peut négliger. Elle est conçue suite à une période convenable par rapport aux besoins de l’entreprise tout en restant bien régulière.